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Vous souhaitez changer votre mode de consommation. Ou bien peut-être manger mieux ? Ah je sais ! Vous tendez vers une démarche zéro déchet ! Quelle que soit la raison, le résultat est le même : vous voulez faire vos propres yaourts avec une yaourtière. Et je vous comprends tellement. Quoi de mieux que de savourer un onctueux yaourt réalisé à la sueur de votre front ? Vous aimeriez donc savoir comment fonctionne une yaourtière. C’est parfait, vous tombez à point nommé. Du fonctionnement de cette machine à la réalisation de vos yaourts, cet article vous explique tout.
Je tiens à vous rassurer tout de suite. Il n’y a rien (mais vraiment rien !) de plus facile que l’utilisation d’une yaourtière. Composée d’un socle, d’une cloche et de plusieurs pots en verre, cette machine est ré-vo-lu-tion-naire. D’une simplicité enfantine, je vous livre tous les secrets de son fonctionnement.
Mais d’abord, permettez-moi de définir ce qu’est un yaourt. « Non mais Laurie, franchement, tu nous prends pour des idiots ? Comme si on ne savait pas ce qu’est un yaourt. On va arrêter de lire tes articles si c’est pour que tu nous transmettes ce genre d’info a-ber-rante. »
Ola ! Pardon, pardon. Je ne voulais pas vous offenser. Bien sûr que tout le monde sait ce qu’est un yaourt. Un produit laitier que l’on mange généralement au dessert. Ou au petit-déjeuner pour certains. Au goûter pour d’autres. Bref !
Mais connaissez-vous vraiment votre ami le yaourt ?
Il s’agit d’une préparation à base de lait fermenté. Le lait fermenté s’obtient grâce à des millions de bactéries qui s’y développent. D’autres compositions sont obtenues à partir de la fermentation lactique : fromage, crème, beurre.
Il existe deux sortes bactéries (des ferments) qui se chargent de la transformation du lait en yaourt :
Mais à quoi sert cet acide lactique ? C’est grâce à lui que la consistance du yaourt prend en masse.
Selon le site de statistiques Planétoscope, voici quelques chiffres qui pourraient vous surprendre :
Impressionnant vous ne trouvez pas ?! Et surtout n’oubliez pas une règle capitale :
« LES PRODUITS LAITIERS SONT NOS AMIS POUR LA VIE.»
Vous l’avez dans la tête ? C’était un petit cadeau de ma part, hihi, ne me remerciez pas.
Nous voilà désormais au cœur du sujet ! Ce que vous attendiez tous depuis le début : comprendre le fonctionnement d’une yaourtière.
Pour ma part, avant d’en prendre une dans les mains, je ne savais absolument pas à quoi ressemblait ce type de machine.
Je m’imaginais un gros récipient (un peu comme un faitout) où l’on versait le lait. La grosse casserole avait une sorte de « mixeur » à l’intérieur qui permettait au liquide de tourner encore et encore. Et au bout de quelques minutes, tadam ! Les yaourts étaient produits. Autant dire que j’étais à côté de la plaque.
Si certains d’entre vous pensent comme moi (mais si je suis la seule, c’est peut-être parce qu’il me manque quelques neurones hihi), sachez que le processus d’une machine à yaourt est extrêmement simple.
En premier lieu, vous devez mélanger du lait avec des ferments. Il s’agit de produits qui servent à la fermentation (par exemple : un yaourt nature ou un sachet spécial que l’on trouve dans le commerce). Vous pouvez y ajouter du lait en poudre et/ou du sucre.
Après avoir versé ce mélange dans les pots en verre, placez ces derniers dans la yaourtière. Là, il vous suffit de poser le socle (ou la cloche) sans couvrir les pots.
Et c’est maintenant que tout se joue.
Une fois la yaourtière fermée et allumée, un chauffage doux et progressif s’installe. Au début, on pourrait croire qu’il ne se passe rien. Mais au bout de quelques temps, on aperçoit la condensation à l’intérieur.
Vous vous souvenez des bactéries dont je vous ai parlé plus tôt ?
C’est grâce à la chaleur répandue dans la yaourtière qu’elles se mettent à travailler et « construire » le yaourt. Bien entendu, il faut respecter certaines règles pour qu’elles fassent leur job correctement. Cela concerne :
Je tiens à vous préciser certaines choses : je vous délivre ces renseignements à titre informatif. Mais je vous conseille tout de même de suivre les indications de votre notice. Toutes les yaourtières sont différentes !
Par exemple, celle de Jean-Philippe et moi date d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître (lalalala).
De façon plus sérieuse, la nôtre est assez vieille (elle appartenait à ses grands-parents). Impossible de régler la température. J’appuie sur le bouton pour démarrer et… elle démarre. Pratique et pas trop prise de tête. En plus, elle fonctionne toujours aussi bien !
Envie d’en savoir plus ? Alors consultez l’article sur mon retour d’expérience concernant mes tout premiers yaourts maison.
Pour faire des yaourts nature avec votre yaourtière, voici une petite recette toute simple. C’est celle que j’ai suivie lorsque j’ai fabriqué mes tous premiers pots.
Le résultat était très bon, mais manquait de sucre. Est-ce vraiment un problème ? Il suffit d’en rajouter. En tout cas, pour une première, ce n’était pas si mal. Je vous laisse donc essayer. 😊
À moins que vous ne mangiez que des yaourts nature (comme Jean-Philippe), il est tout à fait possible de varier les plaisirs. Perso, je suis de ce camp-là ! J’adore les yaourts aromatisés. Mais pas que ! Il est possible de réaliser un tas de recettes grâce à une yaourtière. Voici quelques idées de ce que vous pouvez faire :
La petite astuce : pour plus d’onctuosité et de consistance, n’hésitez pas à rajouter du lait en poudre. 😉
Besoin de savoir quelle est la démarche pour viser l’autosuffisance alimentaire ? Alors c’est parti pour découvrir mon article sur le sujet !
Maintenant que vous savez tout sur l’utilisation d’une yaourtière, vous êtes prêts à réaliser vos yaourts faits maison. Savoureux, écologiques, délicieux, économiques… Vous tomberez fou amoureux de vos petits pots sucrés ! Vous avez déjà testé ? Alors n’hésitez pas à me partager vos meilleures recettes en commentaire. 😊
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