
La Confiture de Fraise Maison : Recette de Grand-Mère
Le matin au petit-déjeuner, c’est biscotte – beurre – confiture pour ma part ! Et même si JP préfère le miel, il en mange aussi.
Un ami du village nous a gentiment confié un de ses coqs. Problème : c’était au mois de novembre ! Et nous n’avions pas prévu d’adopter de coq (ni de poules) avant le printemps. Comment faire ?
Eh bien tant pis, quelques mois plus tôt ou quelques mois plus tard, qu’importe ! Nous n’allions tout de même pas refuser cette généreuse donation ?!
Alors nous voici partis dans une nouvelle aventure : l’accueil de notre premier coq.
Jean-Philippe et moi sommes donc heureux de vous présenter notre coq baptisé « Coq-au-Vin ».
Oui bon… le prénom n’est peut-être pas très adapté (même si, au départ, Coq-au-Vin devait terminer dans nos assiettes !). Mais après réflexion, nous avons décidé que Coq-au-Vin ne finirait pas en coq-au-vin…
C’est le premier, on s’y attache, et puis… mince, un peu d’empathie dans ce monde de brutes !
Pardonnez mon sentimentalisme, j’aime tellement les animaux… et le poulet aussi. Zut, quel dilemme !
Et voici notre poulet qui prend ses marques dans son enclos.
Mais ce coquin de Coq-au-Vin a voulu s’évader la deuxième nuit. Effroi quand j’ai découvert son absence ! En voulant le faire rentrer dans son poulailler à la tombée du jour, je ne l’ai pas trouvé. Il n’était nulle part. Jean-Philippe et moi, en vrai « papa et maman poules » l’avons cherché partout. Quelle aventure de se promener dans les champs avec les lampes torches, à gueuler (de façon bien ridicule et inutile) « Coq-au-Vin ». Comme s’il allait nous répondre : « Oui oui je vous entends, je suis là ! Venez me chercher ! ».
Une fois notre battue terminée, nous sommes rentrés bredouilles. Et il va se faire manger par les renards et les fouines. Et il va mourir de froid. Et il va se perdre. Olala que de tourments !
Mais le lendemain, nous avons soudainement entendu un « Cocorico » strident, à 8h, qui provenait du jardin. J’ai enfilé mes vêtements, mes bottes et ma parka, manqué de tomber dans les escaliers avant de me ruer à l’extérieur. Coq-au-Vin ? Où es-tu ? Toujours pas dans son enclos, ni dans son poulailler. Avions-nous rêvé son cri ?
Et soudain, dans le jardin, en contrebas de son enclos, je l’ai vu se balader tranquillement. J’ai commencé à me fâcher. « Mais où tu étais ? Qu’est-ce que tu as fait ? Comment tu es arrivé là ? Franchement, tu mériterais d’être mangé ! ».
J’ai essayé de l’attraper pour le ramener dans poulailler. Mais rien à faire, il courait comme un fou pour m’éviter. 8h30 du matin, -2° dehors en train de courir derrière un coq plus malin que moi. Jean-Pilippe est venu à ma rescousse et nous avons mis une dizaine de minutes à l’attraper.
Hop, une fois Coq-au-Vin attrapé, il a passé deux bonnes heures dans son poulailler. Jean-Philippe a ajouté du grillage à son enclos. Ce coquin avait dû voleter juste au-dessus et tomber dans notre jardin.
Depuis, il n’est plus jamais parti ! Enfin, surtout depuis que nous lui avons ramené 4 petites poulettes…
Notre Coq-au-Vin nous fait le plaisir de chanter son célèbre Cocorico à 8h du matin. Une chance que nous soyons matinaux ahah ! (et pardonnez-moi pour la qualité médiocre de mon téléphone…)
Après avoir accueilli un coq, nous nous devions d’adopter des poules ! Jean-Philippe et moi avions déjà le projet d’en acheter pour récolter de bons œufs frais. Mais cette idée devait plutôt se faire au printemps.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter l’article que j’ai écrit sur l’adoption des poules et comment bien s’en occuper.
Alors c’est avec une grande excitation que nous sommes partis rejoindre un éleveur avicole qui en vendait à Tarascon-sur-Ariège. Nous en avons choisi quatre. Quatre belles poules, toutes différentes les unes des autres ! Mais tellement adorables.
C’est avec joie que nous vous présentons maintenant nos quatre poules. Une grise, une rousse, une tachetée et une blanche. Elles se sont très bien adaptées au climat montagnard. Et pour cause ! Dès le lendemain de leur arrivée, plusieurs centimètres de neige les attendaient dans leur enclos. Elles n’osaient plus sortir de leur poulailler ! En revanche, ces mesdames sont de véritables gourmandes ! Grains, feuilles de salades, choux, épluchures, elles n’en laissent pas une seule miette.
Pour les prénoms ? C’est en cours de réflexion…
Nos 5 gallinacés dans leur poulailler, protégés du froid et de la neige. Ne sont-ils pas trognons ?!
Début avril, nous décidons d’agrandir notre petite famille. Il est temps que nos 4 poules et notre coq accueillent de nouvelles cocottes.
Et si nous vous les présentions ?
Sur la première photo, il s’agit d’une jolie poule noire dont les plumes du cou sont rousses. Et les pattes grises ! Sa particularité : elle pond des œufs dont la coquille est couleur chocolat. Quand l’éleveur nous a parlé de cette singularité, nous avons voulu la prendre avec nous aussitôt.
Sur la seconde photo, la première poule que nous avons choisie. Elle est elle aussi noire et rousse, et légèrement timide. En tout cas, pour le moment…
Enfin, sur la dernière photo, je vous présente l’une de nos trois pintades. Nous avons pris deux femelles et un mâle. Elles ont seulement 6 semaines, mais elles gambadent déjà très vite. Et elles aiment se faire entendre… Pourtant, je les trouve A-DO-RABLES !
Pas vous ??
MISE À JOUR :
Le 14 avril, l’une de nos pintades est malheureusement décédée. Il ne nous en reste donc plus que deux, un couple femelle – mâle.
Le matin au petit-déjeuner, c’est biscotte – beurre – confiture pour ma part ! Et même si JP préfère le miel, il en mange aussi.
Nous avons réalisé une belle récolte de mangetout au jardin de dessous ! Nous nous sommes régalés à les déguster en poêlée (avec des petits pois)
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